Une question

Immobilier Lille : les Français veulent toujours acheter
14.03.2019

L'actualité de l'investissement locatif à Lille

Le marché de l’immobilier est dynamique

 

Le marché immobilier français a rarement été aussi dynamique. C’est du moins le ressenti des 400 personnes interrogées par l’Ifop dans le cadre du baromètre consacré au « moral des Français face au marché immobilier » créé en 2012.

Le dynamisme du marché est ici calculé avec la moyenne (en pourcentage) des personnes qui considèrent que la conjoncture est favorable à l’achat d’un bien immobilier et de celles qui estiment qu’elle est favorable à la vente d’un bien immobilier.

 

La période propice à un achat

 

En juin 2018, cet « indice » s’élève à 53 %. Sur 100 personnes interrogées, 61 estiment que la situation économie actuelle est plutôt ou très favorable à l’achat d’un bien immobilier quand 44 % considèrent qu’il en est de même pour la vente d’un bien.

« 61 %, c’est très élevé », note Jean-Marc Torrollion, président de la Fnaim, qui ajoute que « 44 % à la vente, c’est très intéressant aussi, ça veut dire que l’enjeu, en ce moment, est de trouver des vendeurs. Ceci dit, en moyenne, le dynamisme du marché immobilier reste très fort, ce qui est de bon augure pour la suite ».

Le volume de ventes atteint « un plafond »

Outre l’indicateur imaginé par la Fnaim, un autre chiffre permet d’exprimer le dynamisme du marché immobilier : celui du nombre de ventes. Si les douze derniers mois ont été marqués par une  hausse de 3,5 % du nombre de ventes , avec un total de 950 000 enregistrées fin juin 2018, le volume des échanges est en baisse de 0,1 % par rapport à décembre 2017. « C’est un léger tassement, mais le rythme reste toutefois élevé. Malgré une belle dynamique, les ventes ont sans doute atteint un plafond » selon Jean-Marc Torrollion.

 

Un marché très équilibré

 

Autre enseignement du baromètre, le marché immobilier est aussi très équilibré. Pour calculer l’indicateur de déséquilibre du marché, la Fnaim soustrait la part des personnes favorables à la vente d’un bien immobilier à la part de celles favorables à l’achat. Cette année, cet indicateur est de 17. Il se rapproche de son « plus bas historique » (16) qui date de 2012.

Par rapport à l’année 2016, le marché apparaît comme étant deux fois moins déséquilibré (indice passé de 34 à 17).  Les acheteurs restent plus nombreux que les vendeurs mais l’écart se réduit. « L’indicateur montre que la demande reste soutenue et que les vendeurs sont également au rendez-vous », estime Jean-Marc Torrollion.

Inquiétude sur les résidences secondaires

 

Malgré ce contexte favorable, seulement 37 % des personnes interrogées estiment que la situation économique actuelle est favorable à l’ achat d’une résidence secondaire . « Un chiffre qui traduit à la fois la cacophonie autour de leur taxation et le discours négatif du gouvernement sur la question », estime Jean-Marc Torrollion. Autre élément négatif, la mise en place de l’IFI qui « marque la fin d’une vision positive de la résidence secondaire. Mais celle-ci reste un enjeu touristique de premier plan et il faut que le gouvernement clarifie sa politique sur ce plan », souligne-t-il. D’autres sondages soulignent d’ailleurs l’intérêt des Français pour ce type d’achat.

 

Source : les echos
immobilier neuf lille

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